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Monthly Archives: octobre 2013
Je reste là je reste. / Moi là, en face mon cœur / et plus loin / ma relation fatiguée avec lui. / Comme ça, histoire de faire nombre / chaque fois que le vide nous compte. _ Kiki Dimoula
- 26 octobre 2013 – 10:14
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- Tagué art, chaise, chaque fois, coeur, compter, en face, fatigue, histoire, K.Dimoula, littérature, loin, nombre, photography, poésie, relation, rester, vide
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“L’homme physiquement“ ne changera sans doute pas beaucoup (si l’on peut concevoir pourtant certaines modifications de détail : une plus complète atrophie des orteils par exemple, une disparition presque totale du système pileux). Nous pouvons donc le décrire. De là nous passerons à autre chose. _ Francis Ponge
- 24 octobre 2013 – 10:05
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- Tagué art, atrophié, détail, disparition;, encre, F.Ponge, l'homme, littérature, modification, orteil, physique, pileux, poésie, système
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Je meurs au présent en écoutant / la nudité des rêves interpréter / à regret l’abscence d’ambassadeurs qualifiés à leur bal costumé / Le carabinier volontaire / éteint les lumières de la musique _ Robert Desnos
- 22 octobre 2013 – 5:50
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- Tagué ambassadeur, art, bal, bal costumé, carabinier, encre, littérature, lumière, musique, nudité, poésie, présent, R.Desnos, rêve, regret, volontaire
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Nous nous réveillons impurs / Nous nous révélons obscurs /…/ Brutes mentales du chaos / Vapeurs uniques de l’abîme _ Paul Éluard
- 20 octobre 2013 – 6:05
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- Tagué abîme, art, brute, chaos, impur, littérature, mental, obscur, P.Eluard, photography, poésie, révéler, réveil, unique, vapeur
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Être un petit chien blanc qui court sans se lasser après la même branche, / Ou un vieux prêtre noir qui dit sans pleurnicher la messe du dimanche : / Bref avoir une foi, minuscule ou sublime _ Michel Houellebecq
- 18 octobre 2013 – 12:36
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- Tagué art, blanc, branche, chien, dimanche, encre, la foi, littérature, M.Houellebecq, messe, minuscule, noir, pleurnicher, poésie, prêtre, sublime, vieux
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Parce qu’il faut que chacun tente à présent tout l’impossible, / Même si tu n’es qu’un souffle d’il y a des milliers d’années, / Une grande vitesse acquise, une durable mélancolie / Qui ferait tourner encor les sphères dans leur mélodie. / Je voudrais, mon Dieu sans visage et peut-être sans espérance, / Attirer ton attention, parmi tant de ciels vagabonde, / Sur les hommes qui n’ont plus de repos sur la planète. _ Jules Supervielle
- 16 octobre 2013 – 6:50
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- Tagué art, attention, ciel, Dieu, encre, espérance, hommes, impossible, J.Supervielle, littérature, mélancolie, mélodie, planète, poésie, repos, souffle, sphères, vagabonder, vitesse
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Le regard n’est pas un demi-dieu. C’est le chaos qui produisit l’œil. Voilà pourquoi toute forme est un éboulis, un reste de désastre. Pour toute sa rigueur, le rectangle est un fouillis d’ossements épars. Il est littéralement impossible de concevoir un angle droit dans un monde où nul lieu n’est d‘équerre. _ François Jacqmin
- 14 octobre 2013 – 6:49
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- Tagué angle droit, art, équerre, chaos, désastre, demi-dieu, F.Jacqmin, littérature, monde, oeil, ossements, photography, poésie, rectangle, regard, rigueur
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Adam encore nu, ensommeillé, / Timide de puissance perdue, / S’engage sur terre et la Grâce / Ne l’a pas encore quitté. /…/ Il tend ses bras ignorants / Et voilà que le temps s’arrête. _ Armand Robin
- 10 octobre 2013 – 6:26
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- Tagué A.Robin, Adam, art, bras, encre, ensommeillé, grâce, ignorant, littérature, nu, poésie, puissance, temps, terre, timide
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Si la lune souriait, elle te ressemblerait. / Vous laissez la même drôle d’impression / De beauté et de quelque chose de mortel. / L’usage de la lumière est votre grande affaire. / Seulement sa bouche à elle se désole pour le monde, pas la tienne. _ Sylvia Plath
- 6 octobre 2013 – 8:38
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- Tagué affairé, art, beauté, bouche, drôle, encre, impression, littérature, lune, monde, mortel, poésie, S.Plath, usage
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Oui, d’un vol à venir je forme le présent / En le faisant sortir d’un passé nonchalant / Et voici mon toujours qui débarque à ma plume / Avec ce qu’il y faut de soleil et de brumes. _ Jules Supervielle
- 4 octobre 2013 – 7:25
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- Tagué ardoise magique, art, à venir, brume, J.Supervielle, littérature, nonchalant, passé, plume, poésie, présent, soleil, vol
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La solitude de l’œil doit devenir si profonde que le trait le plus léger semble rébarbatif. / Renoncer au visible, c’est éviter les dérèglements de la mesure et la flétrissure du signe. / Mais cela ne peut suffire. Il faut encore que ce que nous ne voyons pas soit considéré une erreur de perspective. _ François Jacqmin
- 2 octobre 2013 – 5:20
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- Tagué art, dérèglement, encre, erreur, F.Jacqmin, flétrissure, grillage, grille, littérature, mesure, oeil, perspective, photography, poésie, rébarbatif, signe, solitude, trait, visible
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