Blogroll
- Arts et Lettres
- Boîte Tournemal par MadameCercle
- Claude Miseur
- Confessions intimes et équivoques
- de l'Art et du Coton
- Eric Brochard / SPOO
- Geneviève Gauckler
- Hypothèses
- initiale
- Jean-Paul Galibert / une philosophie…
- KO_DO
- la bayonnaise
- La Boîte noire de MadameCercle
- Le Gardien des limons
- Lomalenver
- Michel Audouard
- un Rien du Tout
- Up Ten iQ / Un Dijon
Monthly Archives: avril 2014
Les signes de ponctuation, normalement, comment sont-ils perçus ? Touchés par le point final, de quelle manière passe-t-on le temps avec lui jusqu’à la phrase suivante ? _ Ryoko Sekiguchi
- 30 avril 2014 – 6:09
- Publié dans Dessin, Textes
- Tagué art, encre, percevoir, phrase, poésie, point final, ponctuation, R.Sekiguchi, signes
- Laissez un commentaire
Je vous donne mes yeux / jetez-les à vos fleurs, / je vous donne ma voix / pour vos chambres sonores. /…/ Je renais en tombant / de mon haut dans la mer. / Disparu ! Quel poisson / se nourrit de mon cœur ? /…/ Oh, la paix d’être enfoui / quelque part, sans connaître / qui je suis où je vis / dans le feu clair de l’Être. _ Pericle Patocchi
- 28 avril 2014 – 6:11
- Publié dans Dessin, Textes
- Tagué art, coeur, encre, feu, fleur, l'être, littérature, mer, P.Patocchi, paix, poésie, poisson, voix, yeux
- Laissez un commentaire
Regarder un animal dans le blanc des yeux / sans rougir / sans avoir l’air d’y toucher / en louchant si possible / en tapant du pied / en frappant des mains _ Philipe Soupault
- 26 avril 2014 – 9:07
- Publié dans Photo, photos, Textes
- Tagué animal, art, avoir l'air, blanc, frapper, littérature, loucher, main, P.Soupault, photography, pied, poésie, regarder, rougir, taper, toucher, yeux
- Comments (2)
Ma femme au ventre de dépliement d’éventail des jours / Au ventre de griffe géante / Ma femme au dos d’oiseau qui fuit vertical / Au dos de vif-argent / Au dos de lumière _ André Breton
- 24 avril 2014 – 8:04
- Publié dans Textes
- Tagué A.Breton, art, éventail, collage, déploiement, dos, femme, géant, griffe, jours, littérature, lumière, oiseau, poésie, ventre, vertical, vif-argent
- Comments (1)
L’oubli me pousse et me contourne / Avec ses pattes de velours, / Il est poussé par le silence / Et l’un de l’autre ils font le tour, / Doucereux étouffeurs d’amour. _ Jules Supervielle
- 23 avril 2014 – 8:26
- Publié dans Dessin, Textes
- Tagué amour, art, étouffer, contourner, doucereux, encre, J.Supervielle, littérature, oubli, pattes, poésie, silence, tour, velours
- Comments (1)
de leurs bouches hébétées de pauvreté / coulent de folles plaintes / sur mon visage de pierre et de larmes. _ Thomas Bernhard
- 16 avril 2014 – 6:50
- Publié dans Dessin, Textes
- Tagué art, bouche, encre, folle, hébété, larme, littérature, pauvreté, pierre, plainte, poésie, T.Bernhard, visage
- Laissez un commentaire
Quand la violence eut renouvelé le lit des hommes sur la terre, / Un très vieil arbre, à sec de feuilles, reprit le fil de ses maximes… / Et un autre arbre de haut rang montait déjà des grandes Indes souterraines, / Avec sa feuille magnétique et son chargement de fruits nouveaux. _ Saint-John Perse
- 14 avril 2014 – 7:02
- Publié dans Textes
- Tagué arbre, art, collage, feuille, fruit, haut rang, homme, Indes, lit, littérature, magnétique, maxime, poésie, Saint-John Perse, sec, souterrain, terre, violence
- Comments (1)
De quatre mille ans / nous revenions chez nous, / dans nos yeux séchait / le vin des lagunes, / nous voyions les bateaux échouer / dans la lumière rouille du soir, / pourtant derrière les bateaux les enfants / ne nous voyaient pas. _ Thomas Bernhard
- 10 avril 2014 – 5:56
- Publié dans Dessin, Textes
- Tagué ans, art, bateaux, encre, enfant, lagune, littérature, lumière, mille, poésie, quatre, rouille, soir, T.Bernhard, vin, yeux
- Laissez un commentaire
En son premier état, la ligne était sans dimension. C’était une extase soudée à l’incommensurable. C’était une envergure calquée sur le rien. / L’étendue se fit qui la rendit impie et triste. On ne vit plus en elle que ce désespoir de ne jamais retrouver de parallèle à l’illimité. _ François Jacqmin
- 6 avril 2014 – 6:48
- Publié dans Photo, photos, Textes
- Tagué art, étendue, calqué, désespoir, dimension, envergure, extase, F.Jacqmin, illimité, impie, incommensurable, ligne, littérature, parallèle, photography, poésie, Rien, soudé, triste
- Laissez un commentaire
En quoi change la chose reçue au moment où on apprend la disparition de ce que l’on croyait exister, comme, depuis un lieu toujours à la même distance, une branche que l’on ne peut voir directement mais qu’on aurait touchée une fois, _ Ryoko Sekiguchi
- 2 avril 2014 – 6:47
- Publié dans Dessin, Textes
- Tagué art, branche, chose, disparition;, distance, encre, exister, lieu, littérature, moment, poésie, R.Sekiguchi, une fois
- Comments (1)